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Stephen Mitchell 29 juin, à 23:41

Le Club des propriétaires de Ferrari 'à Los Angeles a tenu des réunions dîner mensuel avec des invités comme orateurs. L'une de ces Franco Lini qui, à l'époque, était le gérant de la Formule 1 de Ferrari de l'équipe. Parler avec lui après, j'ai fait mention du fait que je serais à Monza pour le Grand Prix d'Italie. Il a dit: «Venez me voir quand vous êtes là", qui était tout j'avais besoin d'entendre.

Avance rapide jusqu'en Septembre. Le samedi était ensoleillé et chaud et si je n'avais que des billets pour la course de dimanche, quoi de mieux que de passer la journée à visiter Franco Lini lors de la pratique pour le Grand Prix d'Italie? J'ai appelé un taxi et a demandé au chauffeur de me conduire à l'Autodrome de Monza. Il connaissait le chemin. Quand nous sommes arrivés, le conducteur a voulu me déposer, mais j'avais d'autres idées. Lors de la première porte, j'ai dit à l'agent de sécurité », Franco Lini mi ha detto di venire" (Franco Lini m'a dit de venir). L'homme n'a pas pu obtenir la porte ouverte assez rapidement. Incrédule, le conducteur a conduit à travers vers les stands. "Non c'è bisogno di i biglietti tarif?" (Pas besoin de vous les billets?), Il m'a demandé. Nous verrons à ce sujet, je lui ai dit.

Nous avons abordé un deuxième barrage et, quoique je soupçonne, je serais détourné que nous étions très proches à l'action maintenant, je répète les mots magiques, "Franco Lini mi ha detto di venire" et la porte était pratiquement poussé hors de ses gonds. Il y avait un dernier obstacle, sous la forme d'un passage pour piétons dans le paddock et composé des fosses. J'ai laissé le chauffeur de taxi de décider pour lui-même s'il faut rester et à regarder la Formule 1 la pratique voitures ou le retour à ses fonctions et s'approcha de l'homme de sécurité qui était susceptible de restreindre la circulation à travers la porte et qui je pouvais voir, c'était un imbécile. Après que je lui jette la ligne son comportement a changé, la porte s'ouvrit et, si mes yeux ne me trompent pas, il salua (!!).

Maintenant, je suis dans le paddock. Il ya John Surtees va dans le bureau, Jackie Stewart sortir en Mars, Jo Bonnier arrivant dans sa Mercedes. Trop de choses à prendre en une fois. Je me rends à la Ferrari fosses où, croyez-le ou non, Franco Lini rappeler qui j'étais. Cela m'a surpris plus que toute autre chose et il semblait très heureux que son nom avait servi une passe tous les accès. Ne voulant pas imposer de nouvelles, je l'ai laissé à son travail et a pris une position où je pouvais regarder les voitures d'en haut, ils ont accéléré sur les stands sur la piste.

Plus tard, je me trouvais dans le paddock à nouveau se demander quoi faire ensuite. Je suis en périphérie que quelqu'un me regarde fixement. Je le regarde et il continue à me regarder. Il est une figure familière et ma première impression est qu'il est quelqu'un que je connais. Puis il se lève sur moi, je vais avoir une sorte de communication non verbale avec nul autre que Enzo Ferrari lui-même. J'avais entendu dire qu'il n'a pas assisté à des courses, mais a appris plus tard qu'il ne venir à la pratique samedi à Monza. En tout état de cause, il était là et il me regardait. J'ai pris cela comme une invitation et s'approcha de lui.

Je l'ai dit, "Buon giorno. La mia mi piace molto GTO "(Bonne journée. Mon GTO me plaît beaucoup) à laquelle il a répondu," Si ", comme pour dire, comment pourrait-il pas? Il était curieux de savoir comment j'étais venu à posséder une GTO, étant un peu plus d'un adolescent à l'époque, et comme nous avons parlé, Juan Manuel Fangio allait et venait nous rejoindre. Il me sourit et écouté poliment que Ferrari et je me suis entretenu.

Après un certain temps, je pris congé et je me demandais à quelle facilité cette rencontre avec deux des plus grandes figures de la course automobile est venu à propos. Le chauffeur de taxi ne l'aurais jamais cru! Depuis ce temps, je voudrais recevoir la carte de vœux d'une année nouvelle annuel de Ferrari a signé dans son encre violette personnels. Ils sont arrivés comme sur des roulettes. Il a également envoyé signé annuaires Ferrari qui présentait le texte et les photos des courses de Ferrari et voitures particulières. J'ai été surpris à l'époque pour être le bénéficiaire de ces dons. Avec le recul, je suis étonné qu'il a pris le temps.

Il ya un post-scriptum à l'histoire. Pendant toutes ces années, j'ai supposé que la rencontre avec Ferrari a été une coïncidence et que ma présence dans le paddock avait suffi pour éveiller sa curiosité que je n'était manifestement pas un journaliste ou partie d'une équipe de Formule 1. Ce n'est que récemment que l'audition quelqu'un me dire de cette réunion a suggéré que Ferrari savait exactement qui j'étais alors qu'il se tenait à me regarder, que Franco Lini lui avait parlé de l'enfant de la Californie avec une GTO qui avait bluffé son chemin vers le sanctuaire très sanctorum de la Formule 1 scène. Bien que l'idée n'était jamais entré dans mon esprit, il a été immédiatement évident pour moi qu'il avait raison. Ferrari avait cherché à me demander comment je suis entré en possession d'une GTO et comment j'ai eu accès aux stands, sans pouvoirs. Quelle que soit d'autre, il peut avoir été pensée restera à jamais un mystère.